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Affichage des articles du mai, 2015

When i'm gone (reprise Cupsong a capella)

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A regarder et Partagez sans limite !!!!

Le temps ternit l'amour (version 2)

Le temps ternit l’amour, La flamme du début Peu à peu diminue, Même si nos cœurs luttent Qu’au passé on s’accroche, L’amour est un adulte Aux rêves qui s’effilochent. Le temps blanchit l’image Que l’on reflète en l’autre, La flamme du présent Peu à peu s’endormant Même si nos cœurs luttent Que tout est favorable, L’amour est un adulte Aux rêves vulnérables. Pourtant mon corps est tien Plus qu’hier moins que demain, Pourtant mon cœur est tien Plus que jamais, juste tien. Pourtant mon corps est tien, Aujourd’hui comme demain, Pourtant mon cœur est tien, A jamais tu l’as fait tien . Le temps guérit l’amour, La flamme du passé Peu à peu disparait, Et si parfois l’on chute Qu’à la vie on s’accroche, L’amour reste un adulte Aux rêves un peu fantoches. Le temps remplit les pages De l’album de nos fautes, La flamme de l’envie Peu à peu reprend vie. Même si nos cœurs luttent Que rien n’est immuable, L’amo

J'ai voulu

J’ai voulu ton amour, Faire partie de tes jours Alors que tout semblait De toi m’éloigner, Nos horizons Et les saisons Si changeantes. J’ai voulu tout apprendre, Être toujours plus tendre Alors je m’enivrais De toi qui comblait Ces soirs si longs Et si profonds Où je déchante. J’ai voulu tout défaire, Reconstruire l’univers, Alors je te rêvais Reine du Palais Blanc sans béton, Là où se font Tous mes espoirs. Je t’ai voulu unique, Faites de rêves magiques, Alors je t’ai perdu Dans l’inconnu De l’horizon Et des saisons Où je m’égare. Mais je garde en moi Cet amour qui se dévoile En l’autre monde, Mais je garde en moi Cet amour qui fait si mal Chaque seconde. J’ai voulu tellement Comme un enfant, J’ai voulu tellement Être un amant Alors je garde en moi Cet amour qui s’envole En l’autre monde, Alors je garde en moi Cet amour qui me colle Chaque seconde. J’ai voulu ton amour, Fair

Soldats

La fenêtre entrouverte Le groupe de combat Se repose déjà En attendant l’alerte. Certains s’endorment vite D’autres pensifs écrivent, Peut-être la missive De leur dernier chapitre. Le transmetteur écoute, Au moindre bruit redoute Tandis que le guetteur Refoule en lui ses peurs La fenêtre entrouverte D’une ville déserte D’une région en guerre Est un peu leur repère. Ils sont dix, hier vingt, Sûrement moins demain, Des enfants, des vieillards Vidés de leurs regards. Leur ennemi existe Depuis qu’un bout de piste Ne leur appartient plus Partagé par l’Onu. Mieux armés que nourris Ils distribuent leurs balles N’importe où en rafales Faisant s’enfuir la vie. Une fenêtre ouverte Sur quelques corps inertes, Témoins involontaires, Victimes de la guerre. 21.01.1994

Que nous reste-t-il?

Après ton départ Et tes au revoir, Ces larmes d’un soir Que me reste-t-il ? Après tes sourires Et ton doux désir, Ce goût d’élixir Que me reste-t-il ? Rien Absolument rien… Après tant ensemble Pourquoi tout se flambe Cette fin si vite Où Nous reste-t-il ? Après tant s’offrir Pourquoi tant souffrir C’est déjà l’exit, Que nous reste-t-il ? Rien Absolument rien… Après tant d’échanges D’une vie aux anges, D’amour qu’on engrange, Que nous reste-t-il ? Après tant s’aimer Comment s’oublier, Tout me semble étrange Que nous reste-t-il ? Rien Absolument rien… Après tout c’est tout, J’ai le cœur si flou D’avoir été fou Que me reste-t-il ? Après tout c’est nous Qui est mort hier Mais je reste amer Car que reste-t-il ? Rien Absolument rien…

On court

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On court après les jours Ceux d’hier, ceux qui viennent On court après l’amour Dans la joie ou la peine, On court comme toujours Sans se soucier des autres On court et sans détour A l’abri de nos fautes. On court comme si la vie nous presse On court comme si la vie nous blesse On court après la vie Celle qui nous échappe On court pour fuir l’ennui Celui qui nous rattrape, On court au fond des nuits Après des feux de paille On court sous le ciel gris Chercher un cœur qui vaille. On court comme si la vie nous stresse On court comme si la vie nous blesse On court après le monde Perdu de notre enfance, On court l’âme vagabonde et le coeur en errance. On court chaque seconde Après le temps qui passe, On court malgré la fronde De nos corps qui se lassent. On court comme si la vie nous stresse On court comme si la vie nous blesse On court comme si la vie nous presse Retrouvez ce texte en chanson

Et si on se racontait

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Et si on se rappelait Aux premiers jours de l’amour Et si on se rappelait Pour vivre ensemble toujours. Et si on s’entrelaçait Pour réchauffer nos deux corps Et si on s’entrelaçait Pour se goûter plus encore. Et si on se racontait Une histoire, nos histoires Et si on se racontait Ce que disent nos regards. Et si on se souvenait Du premier jour où l’on fut Et si on se souvenait Du premier soir, nos corps nus. Et si l’on se désarmait Que larme perlerait D’une absence prolongée, D’un appel vite écourté. Et si on leur racontait Une histoire, notre histoire, Et si on leur racontait Ce que disent nos regards. Et si on se racontait Un sentiment, un désir Et si on se racontait Le plus mal des souvenirs. Et si on se rappelait Le premier de nos baisers Et si on se rappelait Le premier de nos touchers. Et si on s’entrelaçait Pour se souvenir encore Et si on s’entrelaçait Que nos corps soient en accord.

Comme à vingt ans

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Vingt ans n'ont pas suffi A assécher nos cœurs Pourtant des milliers d'heures Ont traversé nos vies. Vingt ans n'ont pu suffire A altérer l'amour Pourtant parmi ces jours Certains sont à bannir. Vingt ans et l'on s'aime, et l'on s'aime, et l'on s'aime Comme à vingt ans ou... presque Vingt ans et l'on s'aime, et l'on s'aime, et l'on s'aime Comme à vingt ans ou... presque Vingt ans n'ont pas permis De gommer nos promesses Même si parfois l'ivresse A fait place à l'ennui. Vingt ans n'ont pu permettre D'assouvir tous nos rêves Même si d'autres se lèvent, Apparaissent en nos êtres. Vingt ans et l'on s'aime, et l'on s'aime, et l'on s'aime Comme à vingt ans ou... presque Vingt ans et l'on s'aime, et l'on s'aime, et l'on s'aime Comme à vingt ans ou... presque Vingt ans n'ont pas suffi A éteindre la flamme Même si parfois des

Libre de t'aimer

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Tant d'années à tes côtés De joies de peines partagées, Le quotidien à gérer, Les enfants à éduquer, Tant de rêves inachevés et de pistes inexplorées Malgré ceux réalisés Dans de trop courtes journées. Pourtant je reste libre Libre de t'aimer encore, Pourtant tout mon cœur vibre Vibre d'être aimé de toi. Tant d'histoires à raconter De mots de gestes familiers, La routine à redouter, Le reste à renouveler. Tant de chemins traversés Et de démons à affronter Malgré ceux déjà présents Dans mes nuits de faux semblants. Pourtant je reste libre Libre de t'aimer encore, Pourtant tout mon cœur vibre Vibre d'être aimé de toi.   écouter la chanson sur spotify Tous droits réservés 2014

De toutes les femmes

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De toutes les femmes Que j’ai connu, Tu es celle de mon premier rencart, Tu es celle de tout premier regard, De toutes les femmes Qui m’ont ému Tu es celle du tout premier câlin, Tu es celle de mon premier chagrin. Peu m’importe ton prénom Peu m’importe les raisons Tu es là maman, Peu m’importe ton prénom Peu m’importe les saisons Tu es là maman, maman... De toutes les femmes Que j’ai connu, Tu es celle du tout premier baiser, Tu es celle de mon premier regret, De toutes les femmes Qui m’ont ému, Tu es celle de tant de réconforts, Tu es celle qui m’a jeté un sort, Peu m’importe ton prénom Peu m’importe les raisons Tu es là maman, Peu m’importe ton prénom Peu m’importe les saisons Tu es là maman, maman… De toutes les femmes Que j’ai connu, Tu es celle de mon premier amour, Tu es celle que j’aimerais toujours, De toutes les femmes Qui m’ont ému, T’es de celles en qui je crois si fort, T’es de cel

Te faire l'amour

Nous partageons Tant de tendresse, Nos seules faiblesses Nos maladresses. Nous nous aimons De mille caresses, Nos seuls regrets Les heures gâchées. Mais y a des fois Où je voudrais Tout simplement… Te faire l’amour Même un peu court, Te faire l’amour Et sans détour Tout simplement… Te faire l’amour Même un peu lourd, Te faire l’amour Au petit jour Tout simplement… Nous partageons Tant de sagesse, Nos seules ivresses Nos cœurs en liesse. Nous nous aimons Dans la paresse, Nos seules envies Manque de folie. Mais y a des fois Où je voudrais Tout simplement… Te faire l’amour Même un peu court, Te faire l’amour Et sans détour Tout simplement… Te faire l’amour Même un peu lourd, Te faire l’amour Au petit jour Tout simplement…

T'aimer

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T’aimer,…, t’aimer,…., T’aimer, C’est l’écrire pour te le dire, Le chanter pour t’enchanter, Y croire à chaque soir, T’aimer, C’est sourire à l’avenir, Avancer sans se lasser, Me voir dans ton regard, T’aimer,…, t’aimer,…., T’aimer, C’est grandir sans s’assagir, Partager sans s’imposer, Y croire sans rien devoir, T’aimer, C’est s’ouvrir à ton désir, Apprécier chaque baiser, Te voir dans mon regard, T’aimer,…, t’aimer,….,  T’aimer, C’est s’unir sans se trahir, Renoncer aux préjugés, Y croire sans faire valoir, T’aimer, C’est vieillir sans se haïr, S’enflammer sans se brûler, Se voir dans nos regards, T’aimer,…, t’aimer,…., 2014 Ce texte chantée en duo

Notre amour

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Notre amour a dix huit ans Est-il Majeur pour autant ? Notre amour est bien portant Mais demain… En sera-t-il autrement…. Restera-t-il aussi grand… Notre amour est comme le temps Il est sans fin pour l’instant, Notre amour est bien vivant Mais demain Le sera-t-il également Restera-t-il bienveillant … Notre amour est comme le vent, Il est changeant par moment, Notre amour est innocent Mais demain Deviendra-t-il différent Restera-t-il élégant ? Notre amour a dix huit ans Est-il Majeur pour autant ? Notre amour est bien portant Mais demain… En sera-t-il autrement…. Restera-t-il aussi grand? Retrouver ce texte en chanson

Quarante ans (et alors)

J’ai quarante ans, maintenant Et alors me diriez-vous ? Je répondrais simplement Rien peut-être et puis c’est tout. J’ai quarante ans seulement, Et comme un bain sans remous Une vie en quatre temps Identiques et si doux. J’ai quarante ans sagement Et des rêves un peu fous Chahutent mon inconscient, Moi peut-être et puis c’est flou. J’ai quarante ans librement Et marié sans mauvais coup, Deux enfants déjà trop grands Pour des parents comme nous. J’ai quarante ans simplement Et alors me diriez-vous ? Je répondrais doucement Rien peut-être et puis c’est tout. J’ai quarante ans, dit maman Ça te fait quoi d’un seul coup De voir ton môme, ton enfant Franchir ce gué sans frou-frou. J’ai quarante ans aisément Ni crève cœur et ni loup Ne perturberont cet instant Si Magique et si doux. 22 juin 2012

Berceuse (Maxence)

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Dors Bébé Dors Doucement tu t’endors… Dors Bébé Dors Tendrement tu t’endors… Dans les bras de papa Rassuré tu t’endors… Dans les bras de maman Apaisé tu t’endors….. Chantée En musique Mélodie Dors Bébé Dors Mi Fa Fa Sol Dou ce ment tu t’en dors… Fa Sol La Sol Fa Mi Dors Bébé Dors Mi Fa Fa Sol Ten dre ment tu t’en dors… La Sol Fa Sol Fa Mi Dans les bras de Pa Pa Mi mi Ré Ré Ré Do Rassu ré tu t’en dors… Do Do Ré Ré Do Mi Dans les bras de maman Mi mi Ré Ré Ré Do Apai sé tu t’en dors….. Do Do Ré Ré Do Mi

Berceuse (Perrine)

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Petit bébé, Dans les bras de Morphée En rêvant tu t’endors… Petite fille, Dans les bras de papa Doucement tu t’endors Petit bébé, Dans les bras de Morphée En rêvant tu t’endors… Petite fille, Dans les Bras de maman Tendrement tu t’endors… 2013 Berceuse Musicale Berceuse chantée

Anniversaire (Deuil)

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Yves, Cinq ans ont passé Depuis ton décès, Cinq ans où nos traits Se sont épaissis, Nous avons vieilli, Certains s' en sont allés, Les enfants ont grandis D'autres sont nés depuis. Cinq ans ont passé Depuis ton décès, Ton image à jamais En nous s'est figée. Nous avons pleuré, Nos larmes ont séchées, Mais nos cœurs à jamais Pour toi ont saignés. Cinq ans ont passé Depuis ton décès, Cinq ans où nos vies ont sans toi changées. Nous t'avons aimé, Nous t'avons pleuré, Vivons sans regrets, Toi en nous à jamais. 8 septembre 2014

Monde Monde

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Avalanche de larmes De regards qui désarment, Ivresse de tristesse D'amour qui se délaisse. Flots de sourires faux, Traces rouges de crocs, Cultes de l'éphémère Des modes terre à terre. Monde Monde Vois ton visage Monde Monde Redeviens sage Monde Monde Tourne la page... World World look, see your face, World World see the damage, World world world turns the page Pluie d'appels sans retour De demandes en secours, Torrent de plaisir lâche où l'on paie argent cache. Méli-mélo d'images, Mix d'amour et de rage, Vol serré de charognes De diables qui se lorgnent. Monde Monde Vois ton visage Monde Monde Redeviens sage Monde Monde Tourne la page... World World look, see your face, World World see the damage, World world world turns the page Avalanche de drames, de regards qui s'enflamment, Éruption de violence pour des mots des non-sens. Tyrannie Médiatique De la pensée unique, Avo

Du bruit pour rien

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Qu’elles s’habillent à la hâte S’embarrassent de détails Trop rondes ou bien trop plates, Elles camouflent leurs failles. Maquillées ou sans fard, Elles s’observent d’un regard Disent rien, se critiquent, Y a toujours comme un hic. Elles s’embrassent, se comparent Elles s’enlacent, sortent leur dard S’appellent toutes «  ma chérie » Qu’elles soient ou non amies. Elles sont belles, on les aime Mais dans ces moments là Elles font parfois du bruit pour rien… Qu’elles s’habillent à la Halle Ou se fringuent de marque, Peau noire ou visage pâle Il faut qu’on les remarque. Maquées, Célibattantes, Elles se veulent féministe, Féminine élégante, Début d’une longue liste. Elles se jaugent, ou se testent Bien souvent se détestent, Pour un rien « ma chérie » Devient « mon ennemie » Elles sont belles, on les aime Mais dans ces moments là Elles font parfois du bruit pour rien… Qu’elles s’habillent, se dévoilent A