t-ex-t-il t-ex-tu-elle

Notre modèle de société  Est à bout de souffle, Les classes pops paupérisées Sont au bord du gouffre. De plus en plus excédés  Certains deviennent excessifs A force d'être dépossédés  Jusqu'à leur calcif. Bien que leurs ceintures se serrent, Que la colère en eux gronde, Tous les gens ordinaires S'adaptent à ce monde. Chacun,  chacune déploient Une intelligence de vie  Que nos élites pantois  Et inadaptées leurs envient. Les mobilisations populaires  Contre la réforme des retraites Traduisent l'atmosphère  D'une société défaite. Qu'est ce qui fait encore lien? Quel monde pour nos enfants? Qu'est ce qu'on a en commun? Quel régime on défend? La démocratie de l'hémicycle? La démocratie populaire? Faut-il les opposer? Faut-il les apposer ? Est-ce la fin d'un cycle ? Le début d'une nouvelle ère  D'un peuple souverain  D'un avenir en commun? Dans ce monde ultra clivé On trouve du réconfort  Dans des communautés Où s'y partage les efforts

Dans mon cœur  A la folie  Je t'aime d'incertitudes,  De baisers un peu prudes, De nos touchers discrets,  De nos rêves étouffés  D'une autre réalité  Un peu plus consommée. Dans mon cœur  À la folie Dans mon cœur Dans ma vie Dans mon cœur A la folie  Je t'aime, sans habitudes, De matins, de préludes,  De nos quelqu' échappées,  De soirées prolongées, D'une autre réalité  Un peu plus enflammée. Dans mon cœur  À la folie  Dans mon cœur Dans ma vie Dans mon cœur  A la folie Je t'aime, sans inquiétudes  Sans questions qu'on élude, Du présent partagé,  D'un futur imagé, D'une autre réalité  Un peu moins effacée. Dans mon cœur  À la folie  Dans mon cœur Dans ma vie... Dans mon cœur  À la folie  Je t'aime, sans interludes  Je t'aime d'incertitudes, De tes bras qui m'entourent De baisers au grand jour, De matins et de nuits De désirs et d'envies. Dans mon cœur  À la folie  Dans mon cœur Dans ma vie... Dans mon cœur  À la folie Dans m

Je me souviens  Du murmure de ton souffle,  De la douceur de ta voix, De la chaleur de ta peau Quand l'atmosphère s'étouffe Du quotidien, de ces choix Que ne guérissent pas les mots. Je me souviens  Du murmure de ton souffle, De tes cheveux ondulants, De ton parfum enivrant Quand la nuit en moi s'engouffre  Que mon corps fuit le sommeil Comme nos vies l'essentiel. Je me souviens  Du murmure de ton souffle  De la tendresse de tes mains , De la douceur de ta peau Quand les nuages camouflent  Les contours de ces desseins Qui ne guérissent pas mes maux. Yan LB  Le 4 mars 2023