Articles

Affichage des articles du octobre, 2021

Super héroS y-en à trop

Image
Dans les années soixante dix  Dans un monde pré Netflix, En haut de la cage à poule  Y-avait pas encore Deadpool. Je jouais à la marelle Parfois même à l'élastique: Normal quand tu as deux sœurs  Entourées de jolies fleurs. Déguisé en Goldorak, En indien ou bien en flic Je me glissais dans la peau  D' un ou deux super héros. Aujourd'hui dans un Marvel Faut un Master post bac Pour comprendre qui et qui Tellement ils se multiplient. Les super héros y'en à trop  Au ciné, télé dans les livres  Je n'sais plus en être accros Tellement y-en à j'en suis ivre. Nous on avait que des "Man" Super, Bat ,Wonderwoman  Des Comics version DC Dans des films, à la télé. Spiderman et géant vert Pas celui de l'alimentaire Suffisaient à nous combler Dans la cour à la récré. Dans des salles 3D max Un film de Marvel par mois Ne laisse vraiment plus de place  A mes héros d'autrefois: Allez chiche je les cite Tous ensemble on se feat: L 'incroyable Hulk à Thor, Iron

Sous le pont

Image
Vagabond moribond  Dans le fond j’pète un plomb: La Seine est ma scène, Et ma peine est dans ses veines. Sous ses ponts moribond  Comme un con,j'me morfonds. Dans mon souk j'tourne en boucle, V'la mon look, J'sens le bouc. Suicidaire, je manque d'air : Lapidaire imaginaire. Sous le pont Mirabeau, J'ai les flots, pas le flow. Vagabond moribond  En aval,en amont De ce rap game en Seine  Je n'ai qu' les quais pour scène. Face à toutes ces épreuves  De ma soute faire peau neuve Des deux bords de ce fleuve  Qui  déborde et m'abreuve... Je suis à la manœuvre  Pour en faire un chef d'œuvre: Mise à l'eau de mes mots  Mise à flots de mon flow. Yan LB Le 17 octobre 2021

En attendant

Image
Au temps perdu des m'as tu vu, Y-avait du monde qui l'eut cru: De table ronde en Réunion, Ils parlent haut car pas de fond. De la télé à la radio  Ils prêchent le vrai comme le faux, L' inverse d' la veille au lendemain En souriant, serrant des mains. En attendant les fins d'semaines Les uns remplissent leur bedaine De Cnews ou de BFM, D'infos punchline, tarte à la crème. En attendant les soirs sans fête Les autres acquiescent de la tête  Tous ces discours généralistes  Portés par de pseudo-spécialistes. Autant perdu jamais ne fût  Le peuple des champs et des rues  La colère gronde à l'horizon: De hauts murs remplacent les ponts. Être entêtés, tourner le dos Ils pêchent ou bien rangent leur faux, Ne croyant plus aux lendemains , Ne glissant même plus leur bulletin. En attendant les jours de payes Les uns écoutent d'une oreille Les mêmes chansons et rengaines  Sur des promesses qui ne viennent. En attendant les jours de retraite Les autres acquiescent de

Fille des seventies

Image
Fille des seventies, Sandrine elle est ainsi, Pleine d'amour et de vie, C'est nos cœurs qui le disent. Son sourire en vaut dix, Son regard est unique Avec elle on se fixe A l'horizon sans hic. Fille des seventies, Sandrine elle est ainsi, Mère et femme accomplie C'est nos cœurs qui le disent. Sa douceur enveloppe  Chacune de nos vies De disco et de pop, D'un amour infini. Fille des seventies, Sandrine elle est ainsi, Toujours jeune et sexy C'est nos cœurs qui le disent. Son bronzage souligne Qu'elle est notre soleil, La douceur de ses lignes, Une énième merveille. Fille des seventies  Sandrine elle est ainsi, Source d'amour et de vie C'est nos cœurs qui le disent... Ses cheveux qui ondulent Sur son joli visage Montrent que capitule  Le temps quant à son âge. Yan LB Le 2 octobre 2021